Hiro était descendu de la montagne et à un tournant s'était retrouvé devant un immense batiment, fonder à même la roche. Il comprit qu'il était arrivé dans un pays qui n'était pas celui où il était né ; l'architecture, les vastes étendus vertes qui se perdaient vers l'horizon, les oiseaux qui volaient paisiblement au dessus de lui. Rien de cela n'était presnet de son ancien village, où la colère, la jalousie et la peur étaient les maîtres mots gouvernant une région froide, inhospitalière, peu propice au travail agricole.
Ce nouveau pays respirait le bonheur, il dégageait une chaleure, un foyer. Hiro se sentait attirer par ces contrés. Il s'avencea doucement observant les alentours, admirant le grand batiment.
De grands escaliers en pierre blanche menaient à une immense porte qui absorbait la lumière du fait de la blancheur de sa matière ; Hiro était ébloui, en partie pour la lumière réflechi par tant d'élement si claire, que par la beauté même de cette fondation. Il s'avencea avec prudence vers la porte, gravissant les marches une à une, respirant l'air fait et se perdant dans le chant des hirondelles qui s'étaient ameutées pret des marches, comme pour le voir entrer.
La porte n'était étrangement pas lourde à ouvrir, ainsi il pénétra dans un immense hall, on entendait des discussions bien que le chant des hirondelles joyeuses couvraient presque toute sonorité. A la gauche du jeune garçon se trouvait une vieille dame qui s'occupait de divers papier et qui ne s'était pas rendue compte de sa présence, il se dit qu'il ne vallait probablement mieux pas la déranger alors il continua son chemin. Il croisa de nombreuses personnes de son âge, absorber dans leurs conversations ou entrainde rire à la blague de leur ami. Ils avaient des livres, des pinceaux, certain était armé... il se sentit alors un peu triste, il aurait tant aimé pouvoir se fondre dans cette masse, marcher à leurs côtés, rire à leurs blague, discuter avec eux, mais il n'était qu'un pauvre paysan, même pas d'ailleur, un simple vagabond orphelin, n'ayant appris la lecture que de symbole simple et dont l'éducation avait été négligé, surtout les 3 années passées.
Perdu dans ses pensés il ne fit pas attention où il marchait et pércuta une jeune fille. Plein de gènes il s'excusa une dizine de fois en l'aidant à ramasser ses affaires éparillées sur le sol, quand il se redressa pour lui tendre deux pinceaux et un petit paquet de feuilles, il croisa son regard et surtout, vit à quel point elle était ravissante. Elle mesurait au moins 10cm de plus que lui, était fine et avait des formes généreuses quant à son jeune âge ; elle semblait être aussi jeune que lui. Elle avait une chevelure magnifique, d'un beau bleu qu'il n'avait jamais vu ailleur, une peau pâle et deux grands yeux à la couleur profonde et envoutante.
Elle prit ses affaires et continua son chemin sans faire attention à lui, mais il la suivit des yeux jusqu'à ce qu'elle sorte du batiment. Il se remit alors en route en observant évasivement le magnifique hall, avec, calqué dans le fond de son esprit, le visage de cette jeune fille.
De nombreux élèves pénétraient dans ce qui semblait être une salle de cour ; bureau, encrier, ardoise, il était dur d'imaginer autre chose. Il vit que à sa gauche et à sa droite se trouvait des accés vers de beaux jardins d'où provenaient le gazouilli des hirondelles, il se détourna de ces passages pour monter l'escalier qui se trouvait près de lui. Il gravit les marches, les fracas des armes provenant du sous-sol le motivant dans cet élan. Il arriva au premier étage et bien que l'escalier continuait à grimper, lui s'arreta à ce palier.
Une magnifique bibliothèque s'offrit à lui, ses portes béantes semblaient le saluer avec chaleure, il se faufila donc à l'intérieur. Une ravissante jeune femme en robe rouge était en haut d'un escabo pour ranger quelque livre en hauteur, elle tendait sur la pointes de ses pieds pour atteindre la dernière ranger ; Hiro put admirer avec ravir les jolis sous vétements de la charmante bibliothèquaire. Le sourir aux lèvres, il se glissa entre les rayons, vraiment pas deçut d'être tomber sur ce batiment et d'avoir put ainsi croiser certain de ses occupants. Il observait les colones de livres, seul et silencieux, et heurta du pied quelque chose, il se baissa pour ramasser l'objet qui n'était autre qu'un livre ; Courber le temps et l'espace.